J’aime me masturber, vous aussi ? Alors l’histoire qui va suivre va vous plaire…
Il y a quelques années, je suis descendue passer quelques jours dans le sud de la France. Les grillons, la lavande, les apéros… C’est déjà une première jouissance, n’est-ce pas? Inutile de vous dire que j’ai bien profité et que le trajet du retour ne m’enchantait pas. C’était la symbolique de fin or je n’avais aucune envie que ça se termine…
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Mais il fallait affronter ces 6 heures. Ce matin là, j’ai donc enfilé une robe dans laquelle je me sentais à l’aise pour conduire. Sous ce soleil de plomb, je commençais à prendre la route dans ma petite voiture. Puis l’autoroute qu’on pourrait rebaptiser aujourd’hui “l’autoroute de la jouissance”.
Vous ne verrez plus jamais l’autoroute du Soleil de la même façon, on parie ?
Donc je commence à m’ennuyer bien rapidement. Hypnotisée par ces grandes lignes droites dont on ne voit pas la fin. Le temps passait trop lentement et comme il faisait très chaud, j’avais relevé ma robe sur mes cuisses.
Et là je m’aperçois qu’un camion que je venais de doubler me fait des appels de phares. Naïve, je commence à me demander si je n’ai pas un pneu de crevé ou un autre problème sur ma voiture. Puis un second camion me klaxonne et je me demande ce qu’ils ont tous! Et pour finir, un troisième klaxonne un peu plus tard…
Là plus de doute, je comprends que c’est ma tenue qui semble leur plaire et mes cuisses fuselées apparentes…ou bien un coup de folie collective! Heu non,aucune chance..
Lorsque je réalise ceci, je me dis que c’est fou qu’ils s’emballent tous pour si peu!
C’était pas non plus la robe du siècle et je n’ai pas un corps de « bombasse »! Ou bien je me sous-estime (rire).
Du coup, je ne sais pas « quelle mouche m’a piquée » mais je me suis dit : « quitte à ce qu’ils klaxonnent, qu’ils ne le fassent pas pour rien». Et je me suis mise à masturber mon clitoris en essayant de relever ma robe encore plus pour qu’ils profitent de la vue. Finalement, cela m’excitait beaucoup de jouer à ce jeu là .
Je sentais mon abricot gonfler de plaisir, de désir et réclamant davantage…
Rien que de vous le raconter, je ressens à nouveau une délicieuse chaleur envahir mon entrejambe. Comme mon désir augmentait au fil des kilomètres, j’enlevai mon string noir et le mis en évidence sur le siège passager vert pomme. J’aperçus mon baume à lèvre Dermophil indien à la vanille.
Vous imaginez la suite ? Non ? Ok je continue alors !
Sa forme en stick me confirma qu’il allait suffire pour accentuer mon plaisir et me mener à la jouissance. Je le pris donc entre mes doigts et l’approcha de ma vulve déjà trempée d’excitation. Autant vous dire que je n’ai eu aucun mal à le faire entrer dans mon minou déjà très réceptif!
J’ai donc commencé à fouiller délicatement ma petite chatte, agitant mes doigts lentement mais sûrement!
Les réactions des camionneurs ne se sont pas fait attendre!
J’étais satisfaite car je me disais que là au moins, il y avait matière à klaxonner et faire des appels de phares! Je les imaginaient en parler entre eux sur la CIBI et ça me faisait rire!
Au bout d’un moment, j’aperçus une pancarte de péage… J’allais devoir arrêter d’agiter mes doigts en moi. Hors de question! Il fallait que je jouisse avant!
J’ai donc commencé à masturber mon clitoris gonflé de plaisir de plus en plus fort. Puis de plus en plus vite. Et c’est lorsque j’aperçus les embouteillages qui commençaient aux péages que je me suis dit : “c’est maintenant ou jamais”!
Je suis rentrée dans une frénésie où plus rien ne comptait à part atteindre ma jouissance.
J’ai oublié tout ce qu’il y avait autour et me suis concentrée sur mes sensations. Sur l’orgasme que j’avais tellement envie d’avoir.
Je me rappelle avoir crié de plaisir tellement ma jouissance fut grande puis avoir appuyé sur la pédale de frein in extremis!
Quel soulagement! Sentant encore mon corps vibrer par petites décharges lorsque je contractais mon entrecuisse, je mis le ticket dans la fente. Du péage voyons rooooooo!
Et je repartis, jetant un coup d’œil aux camionneurs autours. Leurs visages ne m’ont pas paru aussi aimables et souriants que ce jour là!
Une fois mon plaisir assouvi, mes délicieuses sensations retombées, je m’ennuyais à nouveau…
Et puis on aurait dit que mon stick à lèvre me faisait de l’œil. Je n’ai pas résisté, plus je me détend sexuellement, plus j’ai envie haha. Je me suis dit que j’allais continuer à me distraire comme cela pendant tout le trajet. Car en effet, je réalisais à quel point il devenait ludique et me paraissait donc moins long!
Vous savez quoi ? Je n’ai jamais autant aimé devoir m’arrêter à un péage de toute ma vie!
Inutile de préciser que j’ai enchainé les jouissances avec une délectation sans pareil et qu’au moment de quitter l’autoroute, j’étais presque déçue!
Après avoir lu cette anecdote, je pense que vous ne verrez plus l’autoroute et ses péages de la même façon! Quand vous serez amenés à rouler pendant de longues heures, peut-être que vous vous masturberez aussi fort que moi !
Vive la jouissance avant les péages!
Je ne ferais plus les voyage sur l’autoroute sans avoir à l’esprit ce récit.
Il me sera difficile de ne pas sourire en croisant les routiers et les airs d’autoroutes me sembleront toutes un peu plus accueillante.
Tant de passion et de sensualité dans ce récit, le fantasme de chaque routier.
Je me demande si je ne me laisserais pas tenter par une belle autostopeuse ou une blablacar erotique…..
bonne lecture
Le récit “Jouissance à répétition sur l’autoroute de retour de vacances” m’a transporté comme si j’assistais à la scène. Non pas en tant que routier, mais plutôt comme si une caméra avais filmée la scène et que je visionne le film. C’était à la fois troublant et excitant. Cette histoire est merveilleusement bien racontée…Merci à l’auteur !
Comment transformer un transport ennuyeux , rébarbatif et soporifique en un transport agréable de l’ éveil des sens. Comment utiliser la contrainte du bitume en la retournant a son avantage. Comment synchroniser chaque km d’ asphalte et chaque jouissance… L’ arrivée au péage a ajouté du piment, nécessitant une conclusion rapide en quittant l’ éphémère sensation de solitude offerte dans le véhicule en mouvement.
Cette autoroute du plaisir ( certainement la A 69…lol ) a dû finalement te paraître courte, en manque de qques kilométres supplémentaires. Félicitations pour ce récit tant sur le fond que sur la forme…sourire. Vite, une suite
cela donne envie de faire routier lol
rho quelle coquine hum , très agréable a lire , cet sur que du coup on ne voie plus les autoroutes de la même façon , merci a l’auteur pour se bon moment de lecture
Cette histoire me rappelle tellement les coquineries que nous faisions ma femme et moi quand on partais en vacances, à l’époque on écoutais les réactions des routiers sur la “cibie” . Les commentaires nous encourageaient et nous émoustillaient énormément.
Joli récit qui m’incite maintenant à mieux regarder autour de moi aux péages. Sait-on jamais …
et oui, ça incite à être plus attentive, j’avoue 😉 joli récit!
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